INFINIMENT PETIT
 
Derrière cette composition minutieuse se cachent deux structures invisibles à l’œil nu, deux lois discrètes issues des mathématiques et de l’astronomie.
Comme souvent dans l’infiniment petit, l’essentiel est caché dans l’ordre :
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1 – La suite de Fibonacci, dissimulée dans l’écartement des cercles blancs.
Une croissance organique, héritée de la nature elle-même.
 
2 – Le rapport de la somme des circonférences des couches électroniques des atomes sur la largeur de ces mêmes couches, est égal au rapport de la longueur d’un Parsec (3,26 années-lumières) sur la distance Terre- Soleil (150 millions de kilomètres), utilisé pour calculé le Parsec.​
Les circonférences des orbites atomiques s’additionnent jusqu’à refléter un rapport astronomique : celui qui relie notre étoile à un parsec, comme un pont secret entre le cœur de la matière et l’échelle des galaxies.
 
INFINIMENT GRAND
 
Ici, la représentation d'un systèmre planétaire issu de la série Cosmic Trip. Chaque cercle visible dans cette composition orbitale semble libre, flottant dans un espace sans repère.
Et pourtant, rien n’est laissé au hasard :
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1 - Comme tout cercle, celui situé au centre est divisé en 360°. La structure de l'illustration obéit  alors à une logique secrète : le centre de chaque planète  et satellite naturel est placé sur un degré du cercle principal, et chacun de ces degrés correspond toujours à un nombre premier (2, 3, 5, 7, 11, 13…).
Ainsi, c’est l’arithmétique fondamentale, celle des entiers premiers, ces bâtisseurs invisibles des mathématiques, qui structure silencieusement l’univers graphique.
Un ordre discret mais absolu, caché derrière le chaos apparent.
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2 - Mais dans ce réseau de présences, certains angles premiers restent vides, comme des notes manquantes dans une partition parfaite.
La somme de ces absences n’est pas anodine : 1048.
Car 1 / 1048 correspond au rapport entre la masse de Jupiter et celle du Soleil.
Un équilibre gravitationnel subtil, à l’échelle cosmique.
1048 devient alors le poids du silence, le rappel que l’absence aussi peut structurer.
Le vide a une valeur, et même les angles sans cercles racontent quelque chose du cosmos.